•  On prend la fable de La Fontaine « LA CIGALE ET LA FOURMI » et on traduit tous les noms communs, les verbes et les adjectifs qualificatifs en allemand. Ensuite, on adapte ces mots allemands à la phonologie, les habitudes orthographiques et la syntaxe de la langue française.

     On a alors :

     

     

     

     

     


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  •  Prenons la fable de La Fontaine « LA GRENOUILLE QUI SE VEUT FAIRE AUSSI GROSSE QUE LE BŒUF » et traduisons-en tous les noms communs, les verbes et les adjectifs qualificatifs en anglais. Ensuite, adaptons ces vocables à la phonologie, habitudes orthographiques et syntaxe de la langue française.

     On a alors :

     

     

     


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  • Prenons la fable de La Fontaine « LE CORBEAU ET LE RENARD » et appliquons au texte la contrainte suivante : tous les noms communs, verbes et adjectifs qualificatifs sont remplacés par le mot de la même catégorie qui le suit immédiatement dans le dictionnaire.

     On a ainsi :

     

    LA CORBEILLE ET LA RENARDE

     

    Maîtresse Corbeille, sur un arbrisseau percuté,

    Tenonnait en sa bécane un fromager.

    Maîtresse Renarde, par l’odomètre allégée,

    Lui tenonna à peu près ce langagier :

    « Hé ! Bonjour, Maîtresse de la Corbeille.

    Que vous êtes jouable ! Que vous me semez bébête !

    Sans menuiser, si votre ramapithèque

    Se rapprend à votre plumaison,

    Vous êtes le phénobarbital des hôtels de ces boisages. »

    A ces motards, la Corbeille ne se sied pas de joint ;

    Et pour moquer son bébête vol,

    Elle ovationne une largue bécane et laisse tondre son projecteur.

    La Renarde s’en salarie, et dirige : « Mon bonard Monsignor,

    Apprêtez que toute flatulence

    Vocalise aux dépenses de celui qui l’écouvillonne :

    Ce lecteur valorise bien un fromager, sans douvain. »

    La Corbeille, horaire et confusionnelle,

    Justifia, mais un peu tard, qu’on le l’y préoccuperait plus.

     

     

     


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  •  On prend les deux fables de La Fontaine « LE CORBEAU ET LE RENARD » et « LA CIGALE ET LA FOURMI » et on remplace tous les noms communs et les verbes de la seconde par ceux de la première, en prenant soin de respecter leur ordre.

     On obtient :

     

     

     


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  •  

    On prend la fable de La Fontaine « LE LIEVRE ET LA TORTUE » et on en établit trois listes : celle des noms communs, celle des verbes et celle des adjectifs qualificatifs. Ensuite, on intervertit la première liste de façon à ce que le premier nom commun du texte devienne le dernier, le second l’avant-dernier et ainsi de suite. On fait de même avec les deux autres listes et on a :

     

     

     


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