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In the town of Colmar, there’s a bus company,
Which drivers are granted total impunity.
They disregard cyclists and feel legitimate
To run them over and leave them inanimate.
Public prosecutors and judges all alike
Constantly back them up. Should you ride on your bike
Right on the cycle track, you trigger their anger,
And if you persevere, then you’re in real danger.
Cursed be the recklessness and the arrogant cheek
Of those haughty maniacs who deny the weak
And the vulnerable a fair share of the place.
May they be ostracized and sent to the gutter !
Let them be pointed at, boycotted for ever,
Those bully killers that go by the name of T.R.A.C.E.
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M’en allant promener sur les bords de la Fecht,
Je vis gracile bouteille sur ses ondes flotter.
Dedans était un poème qu’aussitôt m’en vais-je te
Faire lire, toi qui les sonnets tant sais apprécier.
(Cela disait :)
Tцeӗrt ! Ǽnɸ ħooï Glooϣshting, ҧijngzøħnj all ᵲцwåħɰ sɮǝ Gwӕrj,
Ĥwǣnn est ᵽɸooïng åg Ɓralᶑoɯӡist ӫԑn Ƚaϣhʁʯsx kiicz Blwӕrj !!!.....
Ӿjooïsӄ, Ӎlϣjwoork obw Ҙxhårwhjing åg mӑɮhtin’t Ҥåwwe дѝзжhoɸ ɮiffle,
Ĥӭӭst’x fjwuürlɠh !... Ǩlaïssing жarøƄ ilt obw Griffle.
Ƥflooüschж åg Fjølm, strӕvn ӫԑn de puuhrple Xwøhnnstragh ;
Mÿÿn ɸloåasp, na ӫԑn Ɓralᶑoɯʒisʎ abv søhhl d’Rwaħagh
Ĥwǣnn est anv stǣɲʃ, åg Pfwiinʠ pʃɘɘrdtɦ Σøjhmfɛlj… !
Ψuuɛhn mør åg Żeuuƌ’s mijd ӫԑn Vesprej plij Ȼzjaŷhɛlj.
Ɏaarfg ohlownɠ åg abv jwømsth, puuhrple Støӭhnf ɸɯerroelx,
Vaззrt Σdoɦb benɮ ȹaa obw andt Ĥɥɥsz tɛɛɏɲt, voostr Vwuostroelx,
Thzeenȼʃ Ȓhooïƞ åg Zsmixxbuhsk paahrɛɥyjsx de Ĥåvgloü…
Ψestv ilt den Ǩhjaøfring, iij Σɮooïɦx køm spåce ooüt Smwåhlzwoü !
Żxoesk wooün’hɦ Jwooïnt gwǣnsk Ghɛɥrtft dess Straomn’st.
Wahԑnst ! Wjoø åg myyr Qeele brjɯɰall Pflace ʃwaomn’st !...
Qu’est-ce que ça voulait dire ? Qu’est-ce que ça signifiait ?
Les mots étaient étranges, certaines lettres inconnues,
Pourtant les vers rimaient et c’était un sonnet
Malgré son rythme rude et ses sons saugrenus.
Ami, point ne t’étonne de ces strophes atypiques,
Fussent-elles même écrites en alsacien ancien
Tel qu’on le rédigeait en caractères antiques
Du temps où de l’espace vinrent les Proto-germains.
UFF 2012
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Tel est mon creux amour qui ne craint pas les chocs,
Il a tant de défenses, de canines et de crocs.
La sordide tanière qui fait rêver les ours
Est à jamais perdue, loin au-delà des tours !...
Dans l’âtre des ténèbres se confondent ses feux
Qui font voir trente étoiles, enfin avec le flux…
Quand reverrai-je, hélas, ce saint déferlement
Qui vient tourbillonnant quand les autres s’endorment.
Néanmoins, et sans plans, courant jusqu’à la mer,
Il faut, sans défaillir, renoncer à douter.
Que la lune soit levée ! Que le soleil soit bas !
Et que frotte ma bosse, je contourne le sas !...
UFF 2007
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On prend de la fable de La Fontaine « LE VIEILLARD ET LES TROIS JEUNES HOMMES » les vers d’ordre impair et de la fable « LE SAVETIER ET LE FINANCIER » les vers d’ordre pair, puis on les mêle en faisant alterner les vers impairs et pairs dans l’ordre original des fables d’origine.
Comme la première fable est plus courte que la seconde, on prend à la première les premiers vers pairs pour les faire alterner avec ceux de la seconde jusqu’à son épuisement.
Enfin, on ajuste l’orthographe et la ponctuation afin de reconstituer au texte une cohérence syntactique.
On a :
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On prend la fable de La Fontaine « LE LABOUREUR ET SES ENFANTS » et on la traduit en anglais. Puis, on reprend tous les noms communs, verbes et adjectifs qualificatifs et on les retraduit en français, mais en leur gardant une orthographe respectant les habitudes graphiques et phonologiques anglaises et en adaptant le texte à la syntaxe anglaise.
On obtient :
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